En Août la France vit au rythme du Brésil. Jeux Olympiques obligent ! Pour vos clients exigeants et curieux de nouvelles sensations, L’Explorateur du Goût a déniché une pépite : la cachaça BemBom.
La cachaça : pas que pour la Caïpirinha ! Faites un petit sondage parmi vos clients. Il y a fort à parier qu’ils associent systématiquement la cachaça à la Caïpirinha… voire qu’ils ne connaissent pas du tout ce rhum. Pourtant, la cachaça n’est ni plus ni moins qu’un rhum pur jus de canne et qui peut s’avérer exceptionnel lorsqu’il est produit dans les règles de l’art.
Et c’est le quatrième alcool distillé le plus produit au monde, avec près de 5000 marques. Forcément, avec un tel volume, la qualité n’est pas toujours au rendez-vous. Résultat : la majorité des rhums brésiliens sont souvent astringents… et difficiles à boire sans le mélange de citron vert, de sucre et de glace pilée du cocktail Caïpirinha. BemBom est aux antipodes des productions industrielles.
Ici, ce qui nous a immédiatement séduit, c’est la douceur et les notes fruitées de la canne fraiche. Avec un résultat très aromatique et tout en rondeur. Pas si loin des meilleurs rhums agricoles de Martinique et de la Guadeloupe. Résultat : BemBom peut aussi se déguster nature. Et c’est même mieux comme ça ! ?
Ils utilisent BemBom … et leurs clients aiment
Dina Benmamar, Barmaid, Relais & Château Le Mas des Herbes Blanches, Lubéron.
« J’ai eu un coup de cœur pour le côté artisanal de la caçhaca BemBom. Et je ne suis pas la seule : même la chef pâtissière du relais – brésilienne ! – l’a adoptée. Ce qui n’était pas gagné, son jugement peut être redoutable… Aujourd’hui, elle s’en sert pour confectionner un entremet typiquement brésilien, à base de granite de Caïpirinha. Quant à moi, je l’utilise toujours de façon classique, avec du citron vert et du sucre. Mais dès le rush de la saison d’été passé, je compte bien inventer un cocktail à ma façon »
Un hommage à l’art de vivre Brésilien
BemBom joue aussi la différence en misant sur un design soigné… et un brin vintage, à l’instar des vinyles sur l’étiquette de la bouteille. Au-delà du clin d’œil vintage, le look des bouteilles et le nom même de la marque ont été conçus en hommage à la « boa vibe » brésilienne. La « boa vibe », c’est l’énergie et les « bonnes vibrations » ressenties en écoutant de la samba, de la Bossa Nova ou la cadence plus rythmée d’une Batacuda.
Nahor Gustavo, « lo rum maestro »
Un sacré personnage se cache derrière les saveurs fruitées de BemBom. Nahor Gustavo, alias « lo rum maestro » a grandi avec la canne à sucre, dans la ferme familiale du Minas Gerais, au Nord-Ouest de Rio. Là-bas, les cannes sont cueillies à la main ; « Lo maestro » y sillonne ses plantations – en Harley! – pour repérer les cannes les plus matures. Et il veille au grain lorsqu’elles sont distillées dans l’alambic « pot still » de la propriété. Avant la commercialisation, le rhum est vieilli au minimum un an en fût de chêne blanc américain.